Plus de 80 % des espèces d’arbres endémiques d’une des forêts tropicales les plus riches du monde sont menacées d’extinction, principalement à cause de la déforestation.
L'activité s'est déroulée dans le cadre du projet : « Échange d’expériences de terrain pour le renforcement des capacités des communautés forestières en appui à l’Alliance Globale des Communautés Territoriales »
Les recherches menées par Trase et l’Instituto Centro de Vida (ICV), en collaboration avec le programme Atlas agricole d’Imaflora, évaluent la conformité de la production de soja en Amazonie et dans le Cerrado avec les éléments clés du Code forestier brésilien et les implications pour répondre aux exigences du nouveau règlement de l’UE sur la déforestation.
La Cour Supreme au Brésil a conforté les droits des peuples autochtones sur leurs terres, en rejetant les positions défendues par le puissant secteur de l'agro-négoce.
Une nouvelle analyse de Trase, ICV et Imaflora révèle à quel point les exportations de soja peuvent ne pas être conformes aux réglementations nationales.
Cette étude analyse dans une perspective historique et socio-politique les causes de l’expansion du soja en Amérique du Sud, et ses conséquences sur la déforestation.
L’ouvrage collectif « Importer du soja sans contribuer à la déforestation. Proposition d’un mécanisme pour mettre en œuvre les engagements français » vient d’être publié par le CSTF.
Fern partage sur son site (2 décembre 2020) une note d'information résumant les principales conclusions de nouvelles recherches coordonnées par l’ONG brésilienne Imazon sur l'impact environnemental et climatique de l’accord UE-Mercosur..
Cet accord de libre-échange, conclu en 2019 après plus de vingt ans de négociations devrait favoriser des importations de bœuf, responsables de déforestation. . D’où la demande de la France de mettre en place dans l’accord des garanties sur l’environnement.
Le ministre français du Commerce extérieur Frank Riester insiste sur le besoin de compter avec un « instrument technique et juridique européen permettant de vérifier que chaque importation n’a pas d’impact négatif sur la déforestation ».
Le 17 septembre dernier, le Comité scientifique et technique Forêt a présenté à la secrétaire d’Etat à la Biodiversité, Bérangère Abba, et au comité de suivi de la Stratégie nationale de lutte contre la déforestation importée (SNDI) sa première publication.